Histoire de QUIBERON

Quiberon se situe à 28 km au sud d'Auray et à 507 km à l'ouest de Paris. La commune même se situe à la pointe sud de la presqu'île. Elle s'étend sur 883 ha. Elle est limitrophe de Saint-Pierre-Quiberon au nord. Elle est entourée par l'océan Atlantique.

La ville compte dix plages : la grande plage, la plage du Goviro, la plage du Conguel, la plage de la Jument, la plage de l'Aérodrome, la plage du Fort Neuf, la plage du Porigo, la plage de Kermorvan, la plage du Castéro et la plage de Saint Julien.

Le phare de la Teignouse se situe au sud-est de la presqu'île.

Sur la côte ouest de la presqu'île, la Côte Sauvage est propriété du Conservatoire du littoral. On y trouve une flore particulière : œillets, bruyère violette, genêt, armérie, etc. L'endroit se parcourt en voiture, à pied, à bicyclette, en kayak de mer ou à cheval. Pour découvrir la Côte Sauvage en partant du Chateau Turpault, empruntez la route côtière jalonnée de nombreuses aires de stationnement. 

Les premières sépultures et squelettes humains retrouvés sur la Presqu'île (et plus précisément sur l’îlot de Théviec) datent du Mésolithique, vers 5000 ans av. J.-C. Pendant la période du Néolithique armoricain, entre 4500 et 2000 ans av. J.-C., les hommes ont dressé des mégalithes : menhirs, dolmens et allées couvertes sont bâtis sur Quiberon et ses alentours. Ces dolmens sont d'ailleurs encore visibles de nos jours1.

L'Antiquité
L'âge du bronze révolu, les Gaulois de la tribu des Vénètes règnent sur un territoire représentant l'actuel Morbihan (ce peuple donna son nom à la ville de Vannes).

« Par leur marine considérable, leur supériorité nautique bien reconnue et leurs relations commerciales avec l'île de Bretagne, les Vénètes étaient devenus un peuple très puissant, dont l'autorité s'étendait au loin sur tout le littoral de la Gaule et de la Bretagne insulaire. Ils possédaient un petit nombre de ports situés sur cette mer ouverte et orageuse à de grandes distances les uns des autres et rendaient tributaires presque tous les navigateurs obligés de passer dans leurs eaux. »
— Jules César, La Guerre des Gaules, III, 82.

À la suite de l'invasion de la Gaule par les Romains, l'Armorique et les Vénètes sont asservis par ces derniers en 56 av. J.-C..

Vers l'an 435, les Angles et les Saxons conquièrent la Grande-Bretagne. Les Bretons sont voués à l'exil. Ils émigrent en Armorique qui deviendra peu de temps après la Bretagne. C'est à cette époque que débute la christianisation du territoire.

Le Moyen Âge
 
Squelette de femme trouvé dans le cimetière, d'apparence chrétienne, mélangé de débris romains, découvert en 1871 près du village de Kerné en Quiberon (Musée de préhistoire de Carnac)
Quiberon est une île jusqu'au xie siècle. Avec le temps et à cause d’un déboisement massif, le sable se déplace progressivement vers la baie, créant un tombolo, entre l'île de Quiberon et le continent. C’est à cette époque que l'île se transforma en presqu'île.

Tombes du cimetière de la chapelle Saint-Clément de Quiberon (datent du viiie siècle ; transférées dans le jardin du Musée de préhistoire de Carnac)
  
XVIII siècle
À la suite du siège de Lorient, l’escadre anglaise de l’amiral Lestock, composée de quarante vaisseaux, débarque dans la presqu'île le 14 octobre 1746. Le capitaine général, de Penhoët, gouverneur de la presqu'île refuse de se rendre. Les combats s'intensifient, l'armée armoricaine est battue et les habitants se voient dans l'obligation de s'enfuir. À la vision des dégâts engendrés par ces combats, Louis Jean Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, aménage la presqu’île de redoutes. La construction du fort de Penthièvre débute en 1747.

Après la Révolution de 1789, des nobles et bourgeois royalistes émigrent en Angleterre et tentent de convaincre les Anglais de renverser la République naissante.

Bataille de Quiberon (1795).
En juin 1795, Port Haliguen voit débarquer quelque 5 400 émigrés royalistes venus d'Angleterre. 12 000 Chouans du Morbihan, s’allient à eux. Mais les royalistes ne peuvent s'entendre sur les stratégies à adopter (notamment à cause du double commandement du comte de Puisaye et du comte d’Hervilly). L’Armée républicaine, menée par le général Hoche, profite de la discorde et repousse les royalistes sur la presqu’île. Ces derniers se retranchent dans le Fort Penthièvre, mais sont assaillis par les républicains le 20 juillet. Le lendemain, les royalistes capitulent ; sur les 6 263 arrêtés, 748 sont fusillés.

Le XIX siècle 
Au début du xixe siècle, le confiseur Nicolas Appert fait une grande découverte : la stérilisation des aliments par la chaleur dite « conserve appertisée ». Il publie sa découverte en 1810. À partir de cette date le quartier des conserveries de Port Maria se développe. La ville devient le premier port sardinier de France en créant des « usines à sardines ». De nombreuses familles bigoudènes s'y installent. Les femmes travaillent dans les conserveries pendant que les hommes partent pêcher.

En 1882, la ligne de chemin de fer Auray-Quiberon est inaugurée. Elle permet de transporter des munitions vers les batteries de la côte, puis quelques touristes qui commencent à percevoir les bienfaits de la mer. On le surnommera le « train des cocus », car il transportait les hommes qui venaient le week-end rejoindre leurs femmes qui étaient en vacances sans leurs maris trop occupés par leurs affaires... Plus tard dans les années 1980 un TER sera mis en place et sera appelé « tire-bouchon » car il désengorge en partie le trafic de l'unique route qui mène à Quiberon.

En février 1893, le premier casino de Quiberon est construit.

En 1899, c'est par Quiberon (Port Haliguen) que le capitaine Dreyfus revient de l’île du Diable, de nuit et dans le plus grand secret, pour assister à son procès.

Le XX siècle
 
Le phare de Haliguen par le peintre Maxime Maufra.
La Première Guerre mondiale.
L'Entre-deux-guerres
En 1924, Quiberon est classée station climatique.

« Pendant l'Entre-deux-guerres, le port de Port-Maria à Quiberon devint une véritable colonie bigoudène. En mars-avril, les pinasses du Guilvinec et de Lesconil font route vers la presqu'île de Quiberon pour la saison de la sardine. Elles ne reviennent à leur port d'attache qu'à la mi-novembre ». L'Œuvre des Abris du marin y crée un Abri du marin en 1946. Il ferma en 1971

Le CAMPING

Animations

d’avril à septembre, soirées dansantes pour la période de juillet août.

Salle de spectacle pouvant accueillir 600 personnes et scène extérieure.

Les services sur le camping

Epicerie, bar, restaurant, laverie, location de vélos, wifi gratuit au bar, wifi dans les mobil homes

Du fait du large périmètre à couvrir, les connexions wifi Siblu ne peuvent atteindre un niveau de qualité comparable à une connexion domestique.

Option confort. Pour alléger votre voyage et vous faciliter la vie, l’option confort, disponible lors de la réservation, vous permet de réserver draps, serviettes et matériel pour bébé (lit, baignoire, chaise haute, poussette). Un espace barbecues en libre accès sur le camping est également à votre disposition.

Activités sur le camping et infrastructures

Les activités à la réserve sont aussi nombreuses que variées

Tir à l’arc, tennis, ping pong , salle de jeux vidéos ,billard, salle de jeux, terrain multisports, piste cyclable, plage privative, location de pontons, mini golf, pêche sur l’étang, terrains de pétanque, fitness plein air, base nautique

Complexe aquatique avec  2 piscines extérieures chauffées, jeux d’eau pataugeoire chauffée , toboggans pentes de glisse.

Piscine intérieure chauffée

Clubs enfants.

• 1 à 4 ans espace Bubbles / présence d’un parent obligatoire
• 5 à 12 ans club pirates
• 10 à 14 ans club barracudas juillet août

QUIBERON

“Pas étonnant que de nombreux peintres et écrivains y aient trouvé l’inspiration ! Les couleurs changent au gré de la météo, une flore singulière se laisse découvrir et le château Turpault reste de marbre face au vent. Les idées naissent en Morbihan…

Si entre terre et mer votre cœur balance, le Morbihan n’impose pas de choix et s’illustre de paysages variés aux couleurs multipliées. A l’image du Golfe du Morbihan qui signe un trait d’union symbolique entre l’océan et le continent, l’unique département au nom breton (Mor-Bihan signifie « petite mer ») se dessine entre rivières bleutées, forêts verdoyantes et rivages dorés. Vous en prendrez plein la vue ! Ici le Canal de Nantes à Brest se faufile, là les légendes de Brocéliande s’affirment, plus loin la côte sauvage de Quiberon se déchire et offre au regard un spectacle unique.
Belle-île-en-mer, Brocéliande, Carnac, le Golfe du Morbihan, Lorient, Pontivy, la Presqu’île de Rhuys, Quiberon, la Trinité-sur-mer, Vannes ou Le Faouët : voyagez dès à présent à travers les destinations phares du Morbihan et préparez vos valises pour votre prochaine escapade en Bretagne Sud !

Belle- Île -en-Mer, Marie-Galante, çà vous dit quelque chose ? Et si Belle-Île peut si bien se fredonner, c’est parce que ses paysages ne peuvent que vous enchanter… Pour des vacances ou un week-end, jouez les Robinsons d’un jour, ou de toujours…

Du nord au sud, d’est en ouest, ses 85 km2 de superficie font de Belle-Île la plus grande des îles du Ponant, et sans doute la plus étonnante aussi par la variété des décors qu’elle propose. Des dunes de sable fin de la plage de Donnant aux falaises sculptées de la pointe de Taillefer ou des Poulains, Belle-Île offre un spectacle remarquable, immortalisé par de nombreux artistes, peintres ou poètes : ici les Aiguilles de Port Coton se dressent face à l’Atlantique ; là une colonie de mouettes tridactyles et de goélands argentés se jouent des embruns ; plus loin la Citadelle Vauban évoque une belle leçon d’architecture ; et seul, face à l’immensité, l’artiste s’émerveille…

L’île est si riche d’histoire, de patrimoine et de culture, il y en a pour tous les goûts. Les papilles justement, parlons-en, des biscuits bien nommés à la sardine, en passant par la bière, le miel ou le caramel au beurre salé, la gastronomie belliloise n’est pas en reste, et sait retenir les visiteurs.

Se déplacer à Belle-Île
Un très large éventail de moyens de transport vous permettra de faire de très belles découvertes à Belle-Ile. Dans cette destination très appréciée des randonneurs -90 kms de sentiers côtiers balisés vous attendent- il vous faudra environ 4 jours pour faire le tour de l’île à pied et découvrir des paysages à couper le souffle. Pour les plus courageux, traverserez l’île et les vallons à vélo pour accéder aux plages et criques abritées. Pour préparer vos escapades, 17 itinéraires côtiers et intérieurs sont répertoriés dans un guide des randonnées pédestres ainsi qu’un guide des randonnées cyclistes, tous deux disponibles à l’office de tourisme. Et si vous n’avez pas votre vélo ! Plusieurs loueurs de cycles motorisés ou non vous accueillent. Les loueurs de voitures proposent une large gamme de véhicules dont certains sont électriques. Il est possible de découvrir l’île en bus, à travers les services de transport en commun ou les cars de tourisme. En dernier recours il vous restera bien sur l’auto stop, 4 points STOP sont aménagés sur l’île.

Carnac

Imaginez : une ville de 4 000 habitants, et presque autant de pierres dressées en dolmens et menhirs ! Allez donc voir de plus près, c’est impressionnant ! Face à de tels blocs de granite, on se sent si petit… si humble aussi. 7 000 ans d’histoire se dressent devant vous… ça fait réfléchir !

Le Menec, Kermario, Kerlescan… les sites se succèdent et les alignements de menhirs flirtent avec l’horizon. Pour s’en approcher davantage, un passage à la maison des mégalithes s’impose. Que diriez-vous d’une visite guidée au cœur des alignements ? Rien de tel qu’un guide conférencier passionné pour explorer avec vous ces champs de menhirs, et tenter de répondre aux éternelles questions : pourquoi de telles lignes ?combien ? pour quelles raisons ? quelles significations ? etc… Nous avons tant à découvrir. 

Pour les plus pragmatiques, il vous sera même proposé de revivre l’époque préhistorique : allumage du feu, atelier de poterie, levage de menhir, tir au propulseur… Bref, l’âge de pierre, comme si vous y étiez ! 

Et si les morbihannais sont si fiers de leur héritage néolithique, ils ont à cœur de le sauvegarder et de le partager, à l’image de l’association « Paysages de 
mégalithes » qui œuvre pour la connaissance, la valorisation et la préservation du patrimoine mégalithique de Carnac et du Sud Morbihan. Objectif : porter le projet de candidature au Patrimoine mondial de l’Unesco. Ce serait une belle reconnaissance, n’est-ce pas ?!

Après ce temps d’immersion et de découverte, vous craquerez bien pour un petit chocolat ? en forme de menhir bien entendu ! Rendez-vous à la biscuiterie des menhirs où les frères Cartron, pâtissiers-chocolatiers, ont imaginé de transformer l’emblème d’Obélix en gourmandise… mmmmhhh, quel délice !!

Vannes

Le cadre médiéval du cœur de la cité des Vénètes témoigne de son passé de première capitale des ducs de Bretagne. Cette architecture pittoresque invite à la balade le long des ruelles étroites bordées de nombreuses maisons à pans de bois.

Quand les jardins embellissent la ville
Au gré de vos pas vous découvrirez les nombreux parcs et jardins qui embellissent Vannes et lui permettent d’être classée 4 fleurs. La nature n’est jamais loin du centre-ville et il est très facile de s’évader le long des sentiers côtiers du Golfe qui vous emmèneront de la presqu’ile de Conleau jusqu’au bourg de Séné via la Pointe des Emigrés notamment. Ces itinéraires vous feront découvrir la faune et la flore

caractéristiques du Golfe du Morbihan tout au long de la Réserve Naturelle du Marais de Séné ou du marais salant de Lasné au Hézo. L’eau n’est jamais très loin tant la terre et le Golfe sont avides de se rencontrer. Voilà pourquoi toutes les activités nautiques sont possibles : plages, voiles ou croisières qui vous dépayseront le temps d’une escapade sur l’ile aux Moines ou sur l’Ile d’Arz.

Elles s’appellent Belle-Ile, Groix, Hoëdic, Houat, l’Ile aux Moines et l’Ile d’Arz. Voici six morceaux de terres atlantiques à découvrir au large des côtes morbihannaises ou au cœur du golfe du Morbihan. Les îles du Ponant vous accueillent !

Ile de Groix

Les sites littoraux incontournables de l’île de Groix
L’île aux grenats porte bien son nom ! Elle possède en effet la seule réserve naturelle géologique à intérêt minéralogique de France. Ici les pierres vous racontent l’histoire de la Terre … une découverte unique !

 
 Ile de Houat

En complicité avec sa petite sœur Hoëdic, Houat marque son indépendance, en s’éloignant du continent auquel elle était originellement rattachée. A 14 km au large de Quiberon, il faut naviguer pour mériter d’accoster sur cet îlot qui abrite 250 habitants à l’année, et encore moins d’arbres. Ici, pierres, landes, vent et mer règnent et dialoguent en permanence, parfois se disputent, puis se réconcilient. Vous surprendrez forcément des bribes de leurs échanges au cours de votre marche le long de la côte et sur les plages : sachez juste rester attentif pour en saisir les nuances et les secrets. Il se murmure une impression de bout du monde…

Ile de Hoëdic

Si une escapade sur l’île d’Hoëdic est une véritable invitation à vivre l’aventure, elle sera aussi sûrement l’occasion de croiser d’autres curieux avec lesquels vous pourrez échanger vos expériences de voyages et de découvertes à travers le monde. Entre récits incroyables et nouvelles inédites, la nuit sera courte et vous vous endormirez enfin, en rêvant de 3 mâts battant les flots. Le lendemain, vous vous quitterez en vous promettant de vous revoir…ce que vous ferez dans la journée même…car dans cette île de seulement 120 habitants, il y a de fortes chances pour que vous vous recroisiez ! Les rencontres ne sont pas seulement le fruit du hasard…

Pourtant, si petite soit-elle, l’île d’Hoëdic peut aussi vous réserver quelques instants bienvenus de solitude. Tel un vrai Robinson, vous pourrez profiter d’une plage pour vous tout seul. Quel luxe car de telles occasions deviennent rares de nos jours ! Saurez-vous savourer cet instant magique ? 

Et si le vrai dépaysement n’était qu’à une heure du continent ?! Embarquement immédiat !

Ile aux Moines

Un dépaysement garanti après seulement 5 mn de bateau, voilà la force de l’île aux moines, perle du Golfe du Morbihan ! Dès que vous aurez posé le pied sur cette terre bordée par le courant de la Jument, considéré comme le plus fort d’Europe, vous serez transporté dans une autre Bretagne, celle aux allures d’îles grecques ! Vous y trouverez pareillement un enchevêtrement de petites maisons blanches de pêcheurs, des lacets de venelles fleuries débouchant sur un jardinet offrant vue sur mer et un art de vivre propre aux îles ! Ici, le vélo est roi, alors un conseil : mettez-vous tout de suite au rythme des iliens, en louant un vélo pour parcourir les ruelles et découvrir les 14 km de sentiers. Il vous faudra parfois descendre de votre monture et parcourir le reste du chemin à pied pour atteindre une crique où, assis sur le sable face aux éléments, vous aurez tout loisir de vous prendre pour un grand poète.

Ile d'Arz

« Debout et Tenons ! », voilà une devise qui ne trompe pas. Il faut dire que l’île d’Arz a du caractère… : celui des marins au long cours qui s’installaient ici, au cœur du golfe du Morbihan et qui offrent aujourd’hui à l’île son surnom d’ « île aux capitaines. » Les capitaines sont désormais les jeunes stagiaires de l’école de voile des Glénans venue s’installer sur cette terre pour offrir les meilleures conditions d’apprentissage de la voile.Si vous souhaitez rester les pieds sur terre, préparez vous à grimper sur « la Montagne », le point culminant de l’île qui atteint les….13 mètres ! Un tel dénivelé ne risque point de vous fatiguer, tout comme les sentiers côtiers, très accessibles, qui permettent de faire tout le tour de l’île. Vous y découvrirez le caractère sauvage et préservé de cette terre, résidence secondaire des oies bernaches de Sibérie et repère de nombreuses espèces locales.

Pour une parenthèse détente, les nombreuses plages qui jalonnent les 18 km de linéaire côtier de l’île vous offrent l’embarras du choix. Selon les vents, les marées et … votre envie, profitez des plaisirs de la baignade quelle que soit l’heure de la journée. C’est simple, quand on sait que la mer n’est jamais à plus de 400 mètres !! Et pour ponctuer votre séjour sur l’île d’Arz d’une note de curiosité, la traversée de la digue du moulin de Berno s’impose. Ce magnifique moulin à marée a été restauré par une équipe de bénévoles passionnés et rappelle aujourd’hui l’activité minotière de l’île au Moyen-Age. Histoire et beauté des lieux se conjuguent ici et font le bonheur des ildarais et des promeneurs !Alors, si l’île d’Arz est petite par sa superficie (324 hectares), les activités ne manquent pas ! Entre balades à vélo, promenades en famille, découverte de la faune et de la flore, visite du musée « Marins et capitaines » et activités nautiques, vous ne verrez pas le temps passé ! L’île d’Arz est une invitation à la plénitude et à la sérénité, pour des vacances inoubliables en Morbihan !